Séminaire 2009-2010

mardi 1er septembre 2009
par  Dominique TOURNÈS

Calendrier des activités communes aux ateliers de l’année 2009-2010 : réunion de rentrée, séminaire mensuel, colloque de fin d’année.

 mercredi 23 juin 2010, 8h30-17h30, IUFM, Saint-Denis (amphithéâtre) : colloque de fin d’année de l’IREM


 jeudi 20 mai 2010, 14h30-17h30, IUFM, Le Tampon (salle S 2)

1. Wims, serveur d’exercices interactifs, un outil puissant pour gérer ses classes (Nathalie Carrié, lycée Antoine-Roussin, Saint-Louis)

Résumé. Wims est un serveur d’exercices pour le collège, le lycée et l’université. Cet outil pourrait faire la liaison collège-lycée mais aussi celle entre le lycée et l’université. J’insisterai donc sur la puissance de Wims à travers un aperçu très rapide des exercices de Wims et de ses outils de calcul. Nous porterons ensuite un regard sur mes classes virtuelles de 2008-2009 pour répondre aux questions suivantes : à quoi m’a servi Wims ? Comment mes élèves ont-ils travaillé avec Wims ? Qu’est-ce que Wims leur a apporté ?

2. Activités autour de la trigonométrie (Claire Francesconi, collège de la Chaloupe-Saint-Leu, Saint-Leu)

Résumé. Un ensemble de ressources pour découvrir la trigonométrie sous différents aspects au collège et au lycée.

3. Résoudre des problèmes pour évaluer le socle commun (Nathalie Ah-Pine, collège Henri-Matisse, Saint-Pierre ; Claire Lagarde, collège Michel-Debré, Le Tampon)

Résumé. Depuis trois ans que nous travaillons sur l’intégration du socle dans nos évaluations, nous avons modifié nos pratiques. La résolution de problèmes a pris une place centrale dans notre progression de sixième et nous aimerions montrer nos difficultés et nos avancées ainsi que celles de nos élèves. L’idée est de présenter nos pratiques quotidiennes en expliquant nos objectifs et nos attentes, comment nous gérons le programme, le socle, et la résolution de problèmes.


 mercredi 14 avril 2010, 14h30-17h30, IUFM, Saint-Denis (amphithéâtre)

1. Quelles démonstrations pour le théorème de Pythagore ? (Alain Bernard et Brigitte Roussel, IUFM)

Résumé. Un grand théorème mérite plusieurs démonstrations. Plusieurs civilisations se sont intéressées à cette propriété des triangles rectangles. Alors : chinoise, arabe, grecque, européenne... quelles approches ?

2. Présentation de Ying : un logiciel de représentation graphique de fonctions de deux variables (Jérôme Éthève, lycée du Moulin-Joli, La Possession)

Résumé. Après une présentation du mode de développement adopté jusqu’à maintenant, je proposerai un bref aperçu des techniques et algorithmes utilisés. J’évoquerai enfin les premières utilisations en classe, avec des exemples d’aide à la résolution d’exercices issus des annales du baccalauréat de la série ES.

3. Le nouveau programme de mathématiques du Baccalauréat Professionnel (Monique Azizollah, IEN mathématiques-sciences)

Résumé. Les points forts du programme. L’évaluation par compétences des mathématiques : exemple de situation d’évaluation


 mercredi 31 mars 2010, 14h30-17h30, IUFM, Le Tampon (salle S 2)

1. Livret d’accompagnement au livret d’aide à la résolution de problèmes au cycle 3 (Denis Theillet, collège de Terre-Sainte, Saint-Pierre)

Résumé. Je présenterai le plan du livret d’accompagnement au livret d’aide à la résolution de problèmes, élaboré l’an dernier, et son mode d’utilisation.

2. Utilisation de jeux à dés en petite et moyenne section (Christophe Péhau-Arnaudet, école du Coin-Tranquille, Tampon 2)

Résumé. En grande section, j’ai remarqué que des jeux à dés étaient très attractifs pour les enfants, et très efficaces pour la reconnaissance globale des collections. Cependant, pour les petites et moyennes sections, le choix est quasi nul. Je présenterai des activités adaptées du site « les jeux d’Eugénie » pour ces deux sections.

3. Un projet autour d’un album pour aider à la structuration de l’espace en grande section de maternelle (Leïla Lorion, école Artistide-Briand, Tampon 1 ; Luc Tiennot, IUFM)

Résumé. Nous présenterons le début d’un projet annuel autour de l’album “Pierre et Le Loup”. L’aspect structuration de l’espace sera travaillé au moyen d’un essai de chorégraphie, dans la partie à venir de ce projet, dont nous donnerons quelques éléments.

4. Activités permettant la construction du nombre et de la numération au cycle 2 avec des objets à calculer (Luc Tiennot, IUFM)

Résumé. Je présenterai des activités pour travailler sur la perception globale des quantités et la construction canonique de quantités plus étendues, dans le domaine numérique du CP, avec des objets à calculer.

5. Activités permettant la construction du nombre et de la numération au cycle 2 avec deux didacticiels (Alain Pauty, école de la Passerelle, Saint-Joseph)

Résumé. Je présenterai un premier didacticiel, reprenant les idées précédentes, avec les avantages que peut offrir l’environnement informatique et un second didacticiel permettant de travailler sur un autre aspect de la construction du nombre : se situer sur une demi-droite graduée (dans le domaine de 1 à 109).


 vendredi 5 mars 2010, 14h-17h, IUFM, Saint-Denis (amphithéâtre)

1. Travaux de l’atelier Math en Jeans du lycée Jean-Hinglo (Sophie Fur et ses élèves)

Résumé. Compte rendu des travaux réalisés par les élèves de l’atelier Math en Jeans du lycée Jean-Hinglo, avant qu’ils aillent les présenter « en grand » au congrès Math en Jeans à Grenoble fin mars. Les élèves ont exploré de belles pistes, notamment algorithmiques. Une façon de montrer aux étudiants et aux enseignants tout ce que l’on peut faire avec des élèves de seconde, en s’appuyant sur des problèmes complexes qui font émerger des notions mathématiques des programmes et qui leur donnent du sens.

2. Quand la géométrie dynamique rencontre la programmation (Yves Martin, IUFM)

Résumé. Si la géométrie dynamique est désormais un nouveau paradigme pour l’enseignement secondaire, c’est aussi le cas dans l’enseignement supérieur, où elle sert à illustrer finement des axiomatiques et à modéliser d’autres types de géométries. Continuant de progresser dans son implémentation, la géométrie dynamique permet aujourd’hui d’intégrer dans la figure l’histoire de la manipulation de l’utilisateur, et de développer, notamment grâce au magnétisme, une « réalité mathématique augmentée » pour les simulations et l’investigation. Par ailleurs, l’imbrication entre la géométrie dynamique et le Javascript ouvre, non seulement à la géométrie, mais aussi à la programmation, des perspectives tout à fait originales que nous commençons juste à entrevoir. Nous donnerons quelques exemples (en géométrie, analyse et statistiques), utilisables en lycée et au-delà.


 mercredi 10 février 2010, 14h30-17h30, IUFM, Saint-Denis (amphithéâtre)

Séance préparée en collaboration avec l’Observatoire de l’illettrisme (projet OBSILLETT porté par Gillette Staudacher-Valliamée, laboratoire LCF, UMR 8143, CNRS et université de La Réunion).

1. Mathématiques et illettrisme (Hélène Le Roux, IREM et OBSILLETT)

Résumé. Engagée dans un projet de prévention et de lutte contre l’illettrisme au sein d’OBSILLETT, je présente un bilan d’étape de mon travail. Je rends compte de deux exposés que j’ai proposés avec les apports et dans le cadre des séminaires d’OBSILLETT. Le premier traite de la prise en compte des élèves en difficulté et s’appuie sur mon expérience. Le second rapporte les premiers constats d’une enquête sur le terrain. À travers cette intervention je tente d’apporter des éléments de réponse à la question : Dans la prévention et la lutte contre l’illettrisme, quels sont la place et le rôle des mathématiques ?

2. Étude linguistique de la spatialité en créole réunionnais : Recherche et applications dans la prévention et la lutte contre l’illettrisme (Adriana Folgoat, OBSILLETT)

Résumé. Notre travail propose une étude linguistique de la spatialité dans la chanson populaire en créole de La Réunion. Le corpus est constitué de chansons créoles composées et interprétées par Maxime Laope, Loulou Pitou et Henri Madoré, trois auteurs réunionnais nés entre 1922 et 1928. Ils appartiennent à une génération de locuteurs créolophones adultes qui n’ont pas connu la scolarité rendue obligatoire avec la départementalisation de 1946. Le but de notre étude linguistique est d’observer comment ces auteurs expriment la spatialité dans leurs textes de chanson.
Après avoir rappelé la définition commune de l’illettrisme et de l’analphabétisme, notre exposé tentera de montrer quelques traits essentiels du système spatial de la tradition orale réunionnaise, en expliquant ses différences avec celui du français. Nous nous appuyons sur la notion de construction de la mémoire visuelle utile à l’accès, aux pratiques et à la compréhension de l’écrit. L’analyse de quelques exemples concrets illustrera les fondamentaux du langage spatial : préposition à valeur spatiale, verbe à valeur spatiale, toponymes. Ils fonctionnent comme vecteurs du repérage et du déplacement dans l’espace. On explique alors, de manière constrastive, comment faire acquérir et maîtriser l’expression linguistique de la spatialité en français : tracé du geste manuel, conceptualisation et mémorisation des unités et groupes d’unités de la langue écrite, rôle du corps dans la représentation spatiale. L’explication grammaticale et lexicale conduit à réfléchir aux applications didactiques possibles dans la prévention et la lutte contre l’illettrisme.

3. Enrichir l’imagerie mentale des élèves pour combattre l’« illettrisme géométrique » à l’école (Luc Tiennot, IREM)

Résumé. En complément des difficultés avec la compréhension des « problèmes à énoncé » qui occupent une place importante du temps scolaire en mathématiques, nous faisons l’hypothèse qu’une raison de ce qu’on peut peut-être appeler « illettrisme mathématique » est dû à la pauvreté de l’imagerie mentale de certains élèves. Nous proposons des pistes pour enrichir cette imagerie dans le cadre de la géométrie au cycle 3 :
 Proposer davantage d’activités de géométrie qui se déroulent réellement dans un cadre géométrique.
 Utiliser des instruments, habituels ou non, et des procédures variées.
 Oser s’aventurer dans le méso-espace, en interaction avec une activité plus habituelle dans le micro-espace de la classe.
Nous illustrerons rapidement cette démarche avec des exemples d’activités de géométrie menées en cycle 3.


 mercredi 9 décembre 2009, 14h30-17h30, IUFM, Le Tampon (salle S 2)

1. Quelle place pour l’abstraction chez les élèves en grande difficulté ? (Tilagavady Guichard, lycée Ambroise-Vollard, Saint-Pierre)

Résumé. Certains élèves restent en marge des apprentissages tout au long de leur scolarité. Qu’en est-il de l’enseignement des mathématiques lorsqu’on s’adresse à ce public particulier ? Dans la pratique, il me semble que la part d’abstraction est trop souvent sacrifiée au profit de l’aptitude à reproduire. Pourquoi et comment tenter de préserver la part conceptuelle des savoirs dispensés ? C’est ce que je tenterai de développer dans cet exposé issu d’un mémoire de 2CA-SH.

2. Découverte de nomogrammes en Seconde (Alain Busser, lycée Roland-Garros, Le Tampon)

Résumé. Peut-on faire de l’algorithmique sans ordinateur ? À cette question fondamentale, des éléments de réponse seront apportés sous la forme de la description d’activités menées en Seconde (en et hors classe). Les chapitres concernés sont la géométrie repérée, les fonctions affines et la fonction « carré ». Et surtout, il sera possible de voir à quoi ça ressemble, un nomogramme !

3. Algorithmique en Seconde avec Scratch et la TI 82-Stats (Bernard Erre, lycée Antoine-Roussin, Saint-Louis)

Résumé. Dans ce nouveau domaine d’enseignement qu’est l’algorithmique en Seconde, tout ou presque est à créer, du choix du logiciel jusqu’aux activités de classe en passant par les évaluations. Pour le logiciel, notre choix au lycée Antoine-Roussin, s’est porté sur Scratch. Pour la programmation, nous initions nos élèves avec la machine préconisée dans l’établissement : la TI 82-Stats. Nous expliquerons les pourquoi de ces choix. Pour les activités, nous procédons par fiches de travail afin de rendre les élèves les plus autonomes possibles, que ce soit en salle informatique ou avec leur calculatrice. Actuellement nous pouvons proposer deux fiches sur Scratch et deux sur la TI 82. Autre innovation : l’évaluation. Une première tentative, que nous vous présenterons, a été faite sur la deuxième fiche pour Scratch.

4. Le stylo numérique (Bernard Erre, lycée Antoine-Roussin, Saint-Louis)

Résumé. Le rétroprojecteur est devenu quasiment obsolète, remplacé par le couple ordinateur-vidéoprojecteur. Après une première période d’enthousiasme avec les diaporamas, nous cherchons tous l’interactivité. À ce stade plusieurs technologies sont possibles, de la plus complète à la plus légère. Ont été présentés, dans différents séminaires de l’IREM, les Tableaux Numériques Interactifs, les tablettes graphiques, un Tablet PC. En attendant l’arrivée du vocal, il manque une technologie : celle du stylo numérique. Un exemple vous sera proposé.


 mercredi 25 novembre 2009, 14h30-17h30, IUFM, Saint-Denis (amphithéâtre)

1. Enseignement d’une Matière par l’Intermédiaire d’une Langue Etrangère (Content and Language Integrated Learning) et mathématiques : philosophie, enjeux et pratiques (Anne Mathieu, lycée Jean-Joly, Saint-Louis)

Résumé. Je présenterai la démarche EMILE mise en oeuvre dans les sections européennes des lycées en soulignant la philosophie sous-jacente à cette pédagogie et les enjeux d’un tel enseignement. J’aborderai également la méthodologie à travers une illustration des pratiques en détaillant quelques exemples d’activités de mathématiques en anglais pour la classe de Seconde.

2. Présentation de l’analyse de la géométrie par Alain Kuzniak et Catherine Houdement (Isabelle Payet, IUFM)

Résumé. Nous allons voir le développement par Houdement et Kuzniak de deux outils : les paradigmes géométriques (la géométrie I, la géométrie II et la géométrie III) et les espaces de travail géométrique (ETG). « L’enseignement de la géométrie a pour fonction première de permettre à l’élève de se construire un espace de travail géométrique efficace. Grâce à cet espace, il peut comprendre et résoudre des problèmes de géométrie. Mais l’interprétation des problèmes va dépendre de paradigmes géométriques qui différent suivant les institutions où s’effectue l’enseignement. Cette diversité de paradigmes entraîne une diversité des espaces de travail... » (Paradigmes géométriques et enseignement de la géométrie, C. Houdement et A. Kuzniak, Annales de didactique et de sciences cognitives, 11 (2006), 175-193).

3. Penser le rôle des mathématiques dans la monétarisation de la société (Stéphane Gombaud, lycée Leconte-de-Lisle, Saint-Denis)

Résumé. Réfléchir la responsabilité des mathématiques appliquées à la finance (MAF) dans la crise économique et politique actuelle n’est pas chose aisée. Heureusement, de savants professeurs ont fourni de précieuses indications sur le rôle des MAF, les outils employés et les buts poursuivis. J’évoquerai de manière critique deux conférences disponibles en ligne, l’une d’Emmanuel Temam et l’autre de Nicole El Karoui. Dans une affaire qui mêle choix politiques et économiques et nous confronte aux limites de la démocratie participative, la détermination propre des responsabilités de la science, des savants et des experts, n’est pas chose facile. Avant d’aborder le problème je trouve nécessaire de faire un détour par l’histoire et de montrer comment les mathématiques ont contribué à la monétarisation puis la financiarisation de la société. Je m’appuierai entre autres sur les œuvres au programme des CPGE (L’avare de Molière, L’Argent de Zola et Philosophie de l’argent de Simmel) pour montrer que l’influence des mathématiques sur la culture a été progressive mais très forte dès le début des temps modernes. La responsabilité est indéniable et les MAF ne sont pas seules en cause. Reste à mesurer justement ce qu’on doit aux uns et aux autres.


 mercredi 28 octobre 2009, 14h30-17h30, IUFM, Le Tampon (salle S 2)

1. Qu’est-ce que l’algorithmique ? (Marie-Catherine Vatonne, faculté des sciences et technologies)

Résumé. Qu’est-ce qu’un algorithme informatique ? Comment et pourquoi
concevoir, vérifier, adapter, rendre efficaces... des algorithmes
informatiques ?

2. Algorithmique et programmation en Seconde : réflexions et expérimentations (Isabelle Abou, lycée de Bois d’Olive, Saint-Pierre)

Résumé. L’introduction de l’algorithmique au programme de la classe de Seconde a fait couler beaucoup d’encre et a permis de nombreuses réflexions et de nombreux échanges. Je commencerai par exprimer pourquoi je crois qu’il faut, dans ce cadre, non seulement écrire des algorithmes mais aussi des programmes. Je parlerai ensuite de ma recherche du logiciel qui m’a semblé le mieux adapté pour répondre aux objectifs et à l’état d’esprit de ce nouveau programme. Puis je proposerai une progression où sont introduites des activités algorithmiques de façon progressive tout au long de l’année et dans chaque partie du programme. J’exposerai enfin mon expérience de l’enseignement de l’algorithmique avec mes élèves depuis le début de l’année.

3. Initiation à l’algorithmique avec Algobox et Scratch (Nathalie Carrié, lycée Antoine-Roussin, Saint-Louis)

Résumé. En suivant à la lettre les instructions du programme officiel, je donnerai des exemples très simples de scripts directement réutilisables en classe de Seconde.

4. Illustration d’algorithmes basiques en géométrie repérée avec CaRMetal (Alain Busser, lycée Roland-Garros, Le Tampon)

Résumé. Des travaux pratiques réalisés en Seconde avec CaRMetal seront présentés, avec bilan fait d’après évaluation des TP et du contrôle qui a suivi l’un d’entre eux.


 mercredi 30 septembre 2009, 14h30-17h30, IUFM, Saint-Denis (salle P 27)

1. Compte rendu du colloque 2009 de la COPIRELEM (Emmanuel Bénard, IUFM)

Résumé. Nous ferons d’abord la synthèse d’une communication du groupe ERMEL sur l’alternance et la formation en mathématiques : l’appréhension, par les professeurs des écoles stagiaires, des finalités des apprentissages mathématiques pose la question de la confrontation fréquente à des pratiques d’enseignement qui peuvent les conduire à sous-estimer l’importance de l’analyse des situations d’apprentissage ou des conditions de leur mise en œuvre. Dans un second temps, nous présenterons quelques activités mathématiques utilisées par des formateurs de l’académie de Versailles dans le cadre du travail qui peut être mené sur l’adaptation en classe de certains jeux du commerce.

2. Utilisation d’un Tablet-PC avec un logiciel de géométrie dynamique (Mamode Nassor, collège de Bras-Panon)

Résumé. Le Tablet-PC est un ordinateur portable muni d’un écran tactile (au stylet), qui permet d’interagir directement sur les éléments affichés sur son écran. Nous verrons une présentation de ce dispositif — qui, couplé à un vidéoprojecteur, peut être une alternative au TNI ou à la tablette graphique — puis quelques exemples pratiques de son utilisation en classe (notamment sur GeoGebra).

3. Une progression spiralée (Anne Peres, collège Antoine-Soubou)

Résumé. Présentation d’une progression spiralée au collège et de l’organisation de l’enseignement qui en découle.

4. Vers une interaction entre l’algorithmique et la géométrie dynamique (Yves Martin, IUFM)

Résumé. Les nouveaux programmes de lycée sur l’algorithmique et la géométrie repérée peuvent se rencontrer, en pratique, grâce aux récentes possibilités du logiciel libre de géométrie dynamique CaRMetal, qui propose désormais un éditeur de programmation en javascript avec des outils propres à une utilisation immédiate.


 mercredi 26 août 2009, 14h30-17h30, IUFM, Saint-Denis (salle des conseils) : réunion de rentrée de l’IREM


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