• PLUME: Un outil unique (et facile!) pour rédiger à l’attention des profs de math…

    • Vous êtes professeur de mathématiques ou peut-être étudiant?
    • Vous en avez assez de taper vos formules de maths sous Word (y-a-t’il vraiment besoin de préciser pourquoi ?)
    • Vous n’êtes pas forcément fan de LaTeX, car trop lourd, trop de préambules, trop de bibliothèques à installer, insérer des figures Géogébra, faire des tableaux de variation ou des graphes est pénible?
    • Vous essayez de taper du code Python, mais vos indentations ne sont jamais comme vous le souhaitez ?
    • Vous voulez taper le corrigé d’un devoir de probabilités mais vous passez 30 minutes à dessiner un arbre sur paint ?

    Olivier SICARD vous propose d’essayer PLUME, qui vous fera gagner du temps…

    à découvrir et télécharger ici: https://kroxx974.github.io/plume/

  • La résolution de problèmes selon Polya

    La résolution de problèmes selon Polya

    Le mathématicien George Polya s’est illustré dans plusieurs domaines des mathématiques, mais l’un d’entre eux est les probabilités, ce qui a amené Polya à des recherches sur le raisonnement plausible. Polya a modélisé (par les probabilités) le raisonnement inductif. Celui-ci est de peu d’utilité dans les démonstrations mathématiques, comme l’illustre l’exemple de Fermat :

    • 21 + 1 est premier
    • 22 + 1 est premier
    • 24 + 1 est premier
    • 28 + 1 est premier
    • 216 + 1 est premier
    • donc 232 + 1 est premier.

    Ce raisonnement n’a pas valeur de preuve, d’autant que 232 + 1 est divisible par 641. Il est par contre utile lorsqu’il s’agit de chercher. L’art de chercher est appelé par Polya heuristique (le fameux eureka d’Archimède : avant de trouver, on cherche). Le livre How to solve it de Polya est la conséquence d’un enseignement basé sur l’heuristique et la résolution de problèmes. Il promeut l’utilisation de la résolution de problèmes (pour initier à la recherche) dans l’enseignement des maths, et débute par :

    Les futurs enseignants passent par l’école pour apprendre à détester les maths.

    Puis ils reviennent à l’école, pour apprendre à une nouvelle génération, à détester les maths.

    Pour y remédier, Polya propose un enseignement des mathématiques basé sur la résolution de problèmes. Cette idée a d’ailleurs été reprise par des didacticiens de l’île des tigres. Cependant, Polya n’évoque guère les outils uniques comme la fausse position ou la schématisation en barres. Au contraire il s’intéresse plus à une forme de méta-heuristique où le choix de l’outil fait partie du processus de résolution. Polya distingue deux sortes de problèmes :

    • les problèmes où il faut prouver
    • les problèmes où il faut trouver

    Les problèmes où il faut prouver sont assimilables à la recherche d’un chemin dans un graphe, connaissant son départ (les données) et son arrivée. Ces problèmes de logique, faisant appel à des techniques telles le chaînage arrière, sont peu pratiqués en école élémentaire. Par exemple en CE 2 à la rentrée 2025 on propose comme critère de réussite qu’un élève sache dire que « Ce n’est pas un carré car l’un de ses angles n’est pas un angle droit. Or un carré a ses quatre angles qui sont des angles droits. » (ce qui suppose qu’en CE 2 on sache effectuer un raisonnement par l’absurde mais aussi que les carrés sont des rectangles). On se concentrera donc ci-après sur les problèmes où il faut trouver, dans lesquels il ne faut pas seulement trouver un chemin dans un graphe, mais aussi établir s’il en existe au moins un !

    Remarque : phonétiquement, le mot heuristique évoque des mots comme errer, erreur… or en latin, errare signifie se promener (ou chercher !). Et l’algorithme de rétropropagation du gradient nous apprend que la vitesse d’apprentissage est proportionnelle au nombre d’erreurs d’apprentissage. De fait, un facteur bloquant pour la recherche de solution à un problème, est la gestion trop négative du statut de l’erreur.


    Voici un exemple de mise en œuvre de la méthode de Polya, sur un problème soumis en CM 2 :

    <iframe title="Problème" width="560" height="315" src="https://tube-cycle-2.apps.education.fr/videos/embed/pDA5vwpYdfDC7PLskzAu13" frameborder="0" allowfullscreen="" sandbox="allow-same-origin allow-scripts allow-popups allow-forms"></iframe>

    Ce problème, de type certificat d’études, est supposé résolu par la fausse position. Le plan de Polya s’articule en 4 parties :

    1) Comprendre le problème

    • Quelle est l’inconnue ? Il y en a deux : le nombre de passagers en 1e classe, et le nombre de passagers en 2e classe.
    • Quelles sont les données ? Il y en a trois (en euros) : le prix d’un billet de 1e classe, le prix d’un billet de 2e classe, et la recette totale.
    • Quelle est la condition ? Il y a en tout 145 passagers donc 145 billets toutes classes confondues) vendus.

    2) Faire un plan

    • Connais-tu un problème similaire ? Une AI comme Mistral (voir ci-dessous) ou un collégien de bon niveau reconnaît un problème du premier degré.
    • Regarde l’inconnue ! Il y en a deux, mais surtout, ce sont des entiers inférieurs à 145 : il n’y a que 144 essais à faire pour trouver la solution.
    • Voici un problème que tu as déjà résolu avant, et qui ressemble à celui-ci. Par exemple celui-ci, vu en CM 1 :

    Un fermier a vendu 26 moutons, les uns à 112 €, les autres à 140 €. Il a reçu en tout 3 192 €. Combien avait-il de moutons de chaque sorte ?

    • Peux-tu reformuler le problème ? Par exemple en le racontant en vidéo comme ci-dessus…
    • Retourne aux définitions (à condition de les connaître : Polya n’a jamais préconisé l’usage exclusif de la manipulation, de la classe inversée ou de la pédagogie explicite : des connaissances sont nécessaires pour résoudre des problèmes).

    3) Appliquer le plan

    Vérifie chaque étape. Peux-tu prouver que chaque étape est correcte ?

    On peut essayer (collectivement de préférence) toutes les possibilités : on choisit un nombre de passagers de première classe, on en déduit le nombre de passagers de seconde classe et on vérifie si, pour ces données, la recette totale est bien 39800 € (il a fallu grouper les élèves en îlots et rappeler la définition du mot recette). Le résultat, simulé en Python, est celui-ci :

    for p1 in range(145):
        for p2 in range(145):
            if p1+p2==145 and 320*p1+260*p2==39800:
                print(p1,"passagers de première classe")
                print(p2,"passagers de seconde classe")

    4) Généraliser

    Lorsqu’on a (enfin) fini de résoudre un problème, on arrive à un point qui semble final, mais que Polya considère plutôt comme initial :

    • Peux-tu vérifier le résultat ? En effectuant (avec l’abaque de Gerbert par exemple) les multiplications 320×35 et 260×110 puis l’addition 11200+28600 on trouve bien 39800.
    • Peux-tu prouver le résultat ?
    • Peux-tu retrouver le résultat différemment ? quand on sait qu’il y a 35 passagers de première classe, on a plus de facilité à réinventer la méthode de fausse position : résoudre un problème, c’est être en position d’en résoudre plus facilement d’autres :
    • Peux-tu utiliser la solution, ou la méthode, pour résoudre d’autres problèmes ? On en revient au début, où il était conseillé de chercher un autre problème, similaire à celui-ci, et déjà résolu.

    Noter que, sur ce problème, des élèves de CM 2 ont fait (collectivement) mieux qu’une IA générative (Mistral) dont la méthode de résolution est bonne , mais ayant fait une erreur de calcul :


    Le problème des moutons a été posé en CM 1 (là aussi avec l’abaque de Gerbert). En voici le compte-rendu :

    Voici une proposition pour résoudre ce problème avec la fausse position (qui n’est pas le choix, rappelons-le, de Polya) :

    Supposons dans un premier temps qu’il n’y ait que des moutons à 112€. Il y a donc 26 moutons (le total) à 112€, et la recette totale serait alors 26×112€ = 2912 . C’est moins que 3192€ (on s’en doutait un peu). Il manque 3192€ – 2912€ = 280€..

    On propose alors de remplacer un mouton à 112€ par un mouton à 140€ jusqu’à ce que la recette soit de 3192€. Chaque échange a pour effet d’augmenter la recette de 140€-112€ = 28€.

    La question est donc de savoir combien de fois on peut caser 28€ dans 280€ (il s’agit d’une division quotition). On trouve 280€/28€ = 10 : il y a 10 moutons à 140€, donc 26 moutons – 10 moutons = 16 moutons à 112€.

    La fausse position est parfois qualifiée d’algèbre du pauvre (on n’a pas besoin de x et y pour résoudre le problème). Comme on l’a vu ci-avant, les IA préfèrent l’algèbre (du riche), mais tendent à se tromper dans les calculs, comme on peut le voir avec le problème 52 d’Alcuin.


    Les unités

    Polya donne des dizaines d’exemples dans son livre, voici un exemple d’exemple : l’analyse dimensionnelle :

    Raisonner sur les unités aide à détecter des erreurs de calcul, mais aussi à deviner la forme du résultat (et à se souvenir des formules de géométrie), à mieux apprendre les fractions, les décimaux et le calcul formel…

  • Initiation au boulier au CP

    Cet article met à disposition des documents utilisables en CP pour une initiation au boulier chinois (dernière période) en 3 ou 4 séances.

    Les élèves de CP de la classe dans laquelle je suis intervenue utilisaient la méthode Picbille. J’ai donc adapté le discours à cette méthode.

    Les bouliers sont « home-made » (je peux les prêter, j’en ai 25), mais on peut très bien utiliser des bouliers chinois standards, en ayant peint les perles (ou pas).

    Cela reste une initiation. .. En pratique (et suite à discussion avec l’enseignante) nous avons choisi de ne pas utiliser les algorithmes usuels du boulier chinois pour l’addition (en commençant par les chiffres de poids fort), mais en mimant l’algorithme d’addition posée (en commençant par les chiffres des unités). C’est beaucoup moins efficace en terme de nombre de manipulations, mais cela aurait été peut-être perturbant pour certains.

    • Séance 1: Découverte du boulier et du vocabulaire associé, introduction à la représentation des nombres sur le boulier.
    • Séance 2: Représentation des nombres sur le boulier
    • Séance 3 (et 4) : Additionner des nombres sur le boulier

    Déroulé de la Séquence

    Les séances utilisent un boulier virtuel pour montrer au tableau, on en trouve par exemple ici: chez sesamath.

    Documents à projeter et documents récapitulatifs

    Fiches élèves

    En bonus:

    Dans la classe où je suis intervenue, il y avait un élève en difficultés avec les additions posées, alors nous avons tenté l’utilisation d’un abaque à jetons (ou à pois du cap), avec « liens graphiques » entre abaque et les graphismes de la méthode Picbille…

  • Ressources pour travailler les automatismes au CM1, CM2 et en 6ème

    Atelier-recherche mené par Pascal DORR, et Karim BOUASLA.

    Nous vous proposons dans cet article des outils clés en main qui permettent de travailler les automatismes au cycle 3.

    1. LES RAPIDOS974

    Rituel quotidien à vidéoprojeter.

    .

    Chaque fichier contient : 32 séries (une pour chaque semaine) de 4 diapositive avec 5 questions sur des savoir-faire essentiels et de la résolution de problèmes

    2. LES AUTOMATHS974

    Des fiches à exploiter sur le temps du travail personnel de l’élève (dans la classe et hors de la classe).

    Chaque fichier contient :
    Pour les CM1 et CM2 : 9 fiches thématiques + correction avec 6 exercices pour chaque savoir-faire.
    Pour les 6èmes : 32 fiches + correction avec 4 exercices sur des savoir-faire essentiels (revenant de manière cyclique) + 1 résolution de problèmes + 1 QCM.

    3. Le guide de survie Cycle 3

    En synergie avec les RAPIDOS et AUTOMATHS

    4. Les évaluations

    3 évaluations trimestrielles pour les CM1 et CM2 portant sur 9 savoir-faire essentiels.
    16 évaluations quinzaines pour les 6èmes.

    5. Liste des savoir-faire essentiels

  • Développer les automatismes au collège

    Atelier-recherche mené par Pascal DORR, Claire LAGARDE et Karim BOUASLA sur l’année scolaire 2022-2023.

    Travailler les automatismes était l’une des préconisations du rapport Torossian-Villani « 21 mesures pour l’enseignement des mathématiques ».
    Une liste d’automatismes à acquérir est désormais présente en fin de chaque thème des programmes de cycle 3 et 4.
    Le dernier Plan National de Formation insiste à nouveau sur cette acquisition d’automatismes.

    Nous avons ainsi réfléchi à différents items, classés par difficulté, afin de faire travailler nos élèves de manière différenciée.

    1. Les essentiels

    Nous avons sélectionné des savoir-faire qui nous paraissaient essentiels dans toutes les parties du programme :

    • Espace et géométrie
    • Nombres et calculs
    • Grandeurs et mesures
    • Organisation et gestion de données
    • TICE (nous avons ainsi étendu le thème « Algorithmique et programmation » à l’utilisation du tableur et de la calculatrice)

    Chaque Savoir-Faire est décliné en 6 items classés par niveau de difficulté :

    ✩✩

    ✩✩✩

    ✩✩✩ ✩

    ✩✩✩ ✩✩

    ✩✩✩ ✩✩✩

    Ces différents niveaux peuvent correspondre aux attendus des différents niveaux de classe : CM1, CM2, 6è ; 5è, 4è, 3è mais pour plusieurs catégories ce n’est pas le cas (par exemple, les angles ne sont pas travaillés au primaire).

    L’idée étant de faire travailler les élèves sur les niveaux qu’ils ne maitrisent pas sans les stigmatiser.

    2. Les diagnostics

    Pour chaque catégorie, une slide vidéo-projetable permet de faire une évaluation diagnostique, selon les différents niveaux (de ✩ à ✩✩✩ ✩✩✩) accompagnée de sa correction :

    3. Les entraînements

    Pour chaque catégorie, une fiche d’exercices permet de travailler une série de questions similaires, pour chaque niveau d’étoile, toujours suivie de sa correction :

    Ces fiches peuvent également être découpées en « mini fiches » pour séparer les différentes étoiles…

  • Séminaire du 18 juin 2025

    13h30 — 18h00, Salle T12, Bât. T, Campus du Tampon

    Lien pour nous rejoindre en visio

    • 14h – 14h30 Bilan Concours Flashmath (en présente ces lauréats), M.-A. Balliste & C. Lagarde
    • 14h30 – 15h30 Création de ressources dans un fonctionnement laboratoire, K. Bouasla, P. Dorr & F. Tobé
    • 15h30 – 16h00 Abaques romains réalisé dans la classe de CP, P. Thérincourt & V. Lehmann
    • PAUSE CAFÉ
    • 16h30 – 16h45 Bilan RallyeMath 974, B. Accot
    • 16h45 – 17h00 Projet Mathématèque, L.Piron
    • 17h00 – 18h00 – Présentation des projets & Continuation des ateliers. Discussion ouverte.

  • Appel à candidature – Ateliers recherche/action 2025-2026

    L’IREMI lance un appel aux enseignants du premier et du second degré souhaitant s’investir dans un atelier de recherche-production (recherche-action conduisant à la production de ressources pédagogiques) ou dans l’animation du rallye 974 Maths  ou des OIOI pendant l’année 2025-2026.

    La fiche de candidature est à renvoyer par voie électronique  à l’adresse marion.le-gonidec[at]univ-reunion.fr avant le 30 juin 2025.

    N’hésitez pas à partager cet appel ou à nous écrire si vous voulez des renseignements supplémentaires.

    Le conseil scientifique de l’IREMI examinera début juillet les demandes reçues et sélectionnera les meilleurs projets.

    Les projets doivent être soumis par un groupe d’au moins deux enseignants et peuvent impliquer des enseignants d’autres disciplines que les mathématiques. 

    Si vous avez une idée mais que vous n’avez pas de binôme, nous pouvons vous mettre en contact avec d’autres enseignants qui pourraient être intéressés.

    • A. Cycles 1,2 & 3 – Résolution de problèmes, calcul mental, apprentissage par le jeu, introduction à l’algorithmique, vocabulaire
    • B. Liaisons – Culture commune et continuité des apprentissages, résolution de problèmes du cycle 1 au cycle 4, laboratoires de math et Unités apprenantes
    • C. Algorithmique, Informatique et sciences du numérique – Démarche de projet en NSI, Évaluation en NSI & SNT ( par compétences,…), Continuité des apprentissages: des blocs à Python.
    • D. Démarche scientifique, esprit critique et interdisciplinarité – Interactions avec les sciences expérimentales, cognitives & humaines, Grand oral, ESM
    • E. Maths et sciences pour tous et toutes –  Différenciation, élèves à besoin éducatifs particuliers Classes coopératives, enseignement explicite en maths, oral, hybridation, élèves allophones.

    Il est permis de proposer tout thème de recherche en lien avec l’enseignement des mathématiques ou de l’informatique.

    Toutefois, l’IREMI encourage les enseignants à s’inscrire dans les thèmes prioritaires définis en concertation avec l’inspection pédagogique régionale de mathématiques et l’inspection pédagogique de mathématiques-sciences dans la voie professionnelle :

    Pour les enseignants du second degré, les candidats retenus pourront, dans la limites de moyens, percevoir une rémunération du rectorat sous la forme d’IMP (Indemnité pour mission particulière). Pour les enseignants du premier degré, vous rapprocher de votre IEN pour voir dans quelle mesure votre participation à ces ateliers peut être soumis à un pacte Enseignant innovation (L’IREMI soutiendra votre demande).

    La participation à ces ateliers engage les enseignants qui y participent  à mener des recherches-actions et à produire des ressources qui seront mises en ligne des tous sur notre site (en refonte actuellement)  et à participer le plus régulièrement possible aux séminaires mensuels  où sont notamment présentés les avancées des ateliers.

  • Le guide « Rallye 974 Maths – Clé en main »

    Le guide « Rallye 974 Maths – Clé en main »

    Il revient en ligne : une mine d’or pédagogique au service de l’innovation !

    C’est un événement pour la communauté éducative de La Réunion et bien au-delà : le guide complet du « Rallye 974 Maths – Clé en main (2014-2020) » est enfin de retour en ligne.

    Plus qu’un recueil d’énoncés, ce document exceptionnel de plus de 100 pages est un témoignage vivant de six années de passion pédagogique, d’expérimentations didactiques et d’amour des mathématiques partagées.

    Un concentré d’innovation pédagogique
    Créé par une équipe de professeurs de mathématiques engagés, coordonnés par David Michel (IA-IPR) et soutenus par l’IREMI de La Réunion, le Rallye 974 Maths s’est imposé comme un laboratoire à ciel ouvert. Il mêle avec brio :

    • des problèmes ouverts et souvent narratifs, ancrés dans la culture réunionnaise,
    • une évaluation par compétences fine et bienveillante,
    • une logistique éprouvée, adaptable à tous les établissements,
    • une réelle volonté de liaison collège-lycée, au service des élèves.

    Des ressources pour enseigner autrement
    Chaque édition contient des épreuves d’entraînement et finales, pensées pour mobiliser la créativité, la coopération et la rigueur des élèves. Les enseignants y trouveront :

    • des narrations de recherche,
    • des scénarios vidéo,
    • des sujets en anglais ou à coloration locale,
    • des liens avec l’algorithmique et le numérique,
    • et surtout, une démarche pédagogique reproductible et inspirante.

    Un guide conçu pour transformer les pratiques
    Ce guide ne se contente pas de compiler les épreuves. Il raconte une aventure humaine, détaille les choix méthodologiques, partage les grilles d’évaluation, les courriels d’équipe, les anecdotes de terrain. Il montre comment une équipe peut devenir une véritable unité apprenante, au service d’une éducation plus juste, plus joyeuse, plus créative.

    « Les mathématiques ne sont pas qu’un savoir : elles sont un plaisir, une culture, une aventure collective. »
    – Extrait du guide

    🎧 Et pour prolonger l’expérience…
    Un podcast introductif, entièrement généré par l’IA Gemini NotebookLM, accompagne cette réédition. Il offre une présentation orale du guide pour celles et ceux qui préfèrent l’écoute à la lecture.